Le Monarque aux larmes d'Argent

Invité

Nom : Vall’Endra-Meridos

Prénom : Teridas

Âge : 121 ans

Race : Demi-Elfe

Classe de base : Mage

Citée :Vall’Endra

Rang : Prince de Vall’Endra

Surnom : Le Monarque aux larmes d’Argent, Le Prince du Ruisseau d’argent, le Fils de Vall’Endra la toute puissante.

(Prenez note que le terme Monarque est utiliser non pas dans le terme de Roi mais bien dans le terme de Prince. J’ais pris la liberté dans mon histoire de dire que Vall’Endra est la toute puissante Reine de cette cité et que le Roi avait été tué lors de la guerre des immortelles.)

Description Physique : D’un doux parfum s’élevant des fin fonds d’une destinée, d’un corps s’ébruitant sous les craquements du trépas. Teridas Meridos s’élèvent dans toute sa grâce, beauté d’une époque ardemment oublié, ses prunelles d’un vert émeraude reflétant le cœur même des grands Océan de Némésia. D’un noir d’ébène, d’une chevelure s’entourant jusqu’à ses épaules, son corps n’en est que des plus admirables, enviables parmi les siens, jalousés parmi les vilains. De douces et délicates oreilles pointues, ornant les extrémités de sa chevelure. Une peau d’un blanc argenté, éblouissant même la délicatesse du soleil. Son corps n’est que délice, dans un monde dévoré par la malice. Sa présence inspire l’espoir au-delà d’un simple miroir, sa prestance est sans défaillance inspirant même l’ultime confiance.

Description Psychologique : D’une personnalité argentée, éblouissant de son regard les foules et enflammant de ses paroles les plus pessimistes. Le Prince d’Argent est un être excentrique, rayonnant de couleur vives afin d’exprimer sa personnalité. Ce puissant magicien, dont là bonté d’âme n’as aucun égal est d’une joie de vivre contagieuse. Alors que la noirceur est prompte à envahir le cœur de ses frères, Teridas Meridos, le Monarque aux larmes d’Argent sera toujours l’éclat de lumière brillant de mille feux, traversant même les plus épaisses couche de désespoir. Alors que ceux ayant vécu à l’époque du ténébreux Mordath virent leurs cœur et leur âme entaché par la crainte que celui-ci reviendrais, alors que changé à jamais les vétérans de la guerre des immortelles sont aux constant aguets, le Monarque aux larmes d’Argent ce contente de vivre joyeusement sous la tutelle de la dame d’Argent afin de se perfectionné et de devenir le disciple du Céleste Mage.

Inventaire :

-Arme : Sceptre-Lame d’Argent

-Armure : Vêtement bleu argenté, toge Argenté.

-Or : 100 PO

Histoire :

Le présage, l’insouciance et le chaos.

Par une douce nuitée de printemps, près des somptueux Ruisseaux d’Argent, résidait deux être dont l’amour semblait être à l’épreuve du temps. Leurs cœurs s’enflamment l’un pour l’autre, ils étaient l’un les l’autres, de l’amour, les fervent apôtres. D’une paix auquel nul évènement ne pouvait déroger, auquel la vilenie n’avait aucune emprise. Ses deux êtres ce chérissait, plus qu’un nain chérissant ses coffres débordant d’Or. Êtres qui par-delà le parfum du printemps, s’engouffrait dans les plaisirs que leurs offrait chacun de leurs moments. Êtres qui désirais la vie, pour l’un et l’autre combattre le mépris. Ceux-ci mêmes rejetez par les leurs, se subjuguait de leurs propre bonheurs. Les dieux leurs avaient été cléments, peut-être enviaient-ils eux-mêmes leurs union d’Argent. Le Ruisseau d’Argent brillait de mille éclats, alors que le romantisme guidais le moindre de leurs ébats. La douce reine d’Argent s’enivrait de ce même bonheur, ce laissant insouciamment baigner dans un parfum de nudité. Les dieux les regardaient, pensait-elle, jalousant leurs bonheur, ne savait-elle pas qu’en vérité, elle la toute puissante magicienne d’Argent que le monde allait sombrer dans le chaos? Peut-être que cette toute puissante prophète d’Argent aurait sus lire les présages dans le ciel d’un chamboulement éminent si ce n’aurait été de cette profonde passion envers son doucereux époux qui l’occupait chaque nuit.

D’une merveilleuse nudité, d’une beauté sans égal, la jeune immortelle laissait son corps dériver sur la douce écume des Ruisseaux d’Argent, son époux à ses cotés s’engouffrant dans les abîmes de l’ignorance, parcourra d’une main maladroite le somptueux corps de sa promise. Sa main d’une chaleur réconfortante parcourra les délicates jambes de son amour, son corps s’échauffant d’une exaltation passionnelle ne pouvait que faire sourire la jeune dame d’Argent qui tentait tant bien que mal d’ignorer moqueusement les avances de son époux. Bien que son cœur lui fût acquis, qu’elle lui avait déjà offert la tendresse de sa passion, la raison elle-même de l’inconscience subjuguait les pensées de la jeune Vall Endra. Pourquoi, ce demandait-elle en cette instant fatidique, était-elle incapable de concentré ses entières pensée à son amant? Les arbres de la forêt, tendant bien que mal de lui indiquer le ciel ne pouvait, bien malheureusement, en rien lutter contre les machinations de l’immortelle Mordath… Et ce fût en ce même instant, alors que cette douce reine succomba à l’étreinte de son amant, que l’ultime présage de la destinée plongea dans le ciel au-dessus de leurs corps ruisselant dans l’ébat passionnelle qui les unissaient, une brillante étoile filante d’un rouge écarlate traversa le ciel et voilant brièvement la clarté de la lune. Cette éclipse lunaire, présage qu’une prophète aurais su interprété passa inaperçu aux yeux de la délicate et passionnel reine d’Argent. Ses paupières restèrent closes et l’éclipse ce dissipa aussi promptement qu’elle ce fût formé.

En cette nuit fatidique, en ce moment d’insouciance naquît pourtant, quelques mois plus tard, un jeune nourrisson qu’ils allaient chérirent avec la même passions qu’ils s’étaient aimées. Le petit-être à la peau tout aussi argenté que sa jeune mère, lui fût rapidement déposé dans ses bras. Celle-ci ne pouvait que se réjouir de ce merveilleux moment, observant avec l’éclat de Crystal de son regard les yeux émeraude de son fils. Le jeune semi-être, s’agrippa instinctivement aux seins de sa douce et tendre mère, d’une main délicate il porta à sa bouche se fruit délicieux qui lui procura le lait maternel dont il avait besoin. Le bébé semblait nourrir de grande passion parmi les siens, sa tête aussi fragile que la porcelaine éclatait d’une étincelle de bonheur laissant sans voix les spectateurs qui avaient assisté à la naissance de leur prince héritier. Tous était heureux, tous chérissait ce petit bébé avec une passion débordante... Seul l’époux de la reine Argenté semblait pessimiste devant ce jeune mâle, son cœur vibrait d’un rejet honteux car au-delà de toute preuve, il ressentait inconsciemment, le manquement à leurs devoir, il pressentait en son jeune fils, sa propre défaillance. D’un sourire peu convaincu, le père du jeune nourrisson pris enfin sa progéniture dans ses bras, le berçant doucement contre sa poitrine il ne pût résister plus longtemps devant le chaleureux sourire d’enfant qui se dessinait sur les lèvres de son fils. Au même moment ou le jeune père souleva son fils, au même moment où il lui déposa un doux baiser sur son infime duvet qui lui servait de chevelure, son destin était scellé.

Les années passèrent sans incidents, le jeune nourrissons fût élevé amoureusement par son père et sa mère. Tout deux s’efforcent de lui apprendre les rudiments de la magie alors qu’ils constatèrent eux-mêmes que de leurs union magique n’étais pas née un sorcier mais bien un magicien. Leurs regards ce croisèrent, la reine Argenté semblait confuse, le père, envouté par cet étrange impression d’échec tentait d’oublier les légendes se rapportant aux magiciens. Le petit-être n’étais néanmoins nullement rongé par le désire de puissance, seul la curiosité animais les traits ce petit-être qui déferlais ses premiers sort sur les hirondelles qui venait se posé sur sa main. Bien que sa mère lui avait interdit de changer la couleurs des plumes de ses merveilleux petits oiseaux, le jeune semi-elfe s’émerveillait chaque fois qu’il réussissait ce petit tour de force. Son père, toujours méfiant à son égard le réprimandait à chaque question que le jeune mage osait poser et à chacune de ses questions sans réponses le jeune être à la vivacité d’esprit en élaborais de nouvelles. Et lorsque celui-ci recevait des réponses, ils les trouvaient des plus incomplètes. Ainsi était son père et il trouva bientôt beaucoup plus d’affinité avec sa mère qu’il n’en aurait jamais retrouvée avec son père. Celui-ci s’opposant à son apprentissage dans l’art des arcannes, ce fût la toute puissante dame Vall Endra qui lui apprit à contrôler son potentiel magique. Limitant sa soif de pouvoir, propre à tous les magiciens, Vall Endra réussit à lui inculquer les valeurs qu’elle chérissait par un amour sincère, vénérable et plus que tout attentionné. Alors que son père jalousait l’attention que lui portait son épouse, il s’isola bientôt dans la solitude caverneuse que lui offrait l’érudition des écrits ancestraux.

Le jeune Teridas Vell’Endra-Meridos devînt rapidement un jeune mâle enjoué, son caractère voluptueux évolua rapidement lors de son enfance et au commencement de son adolescence il était consciencieusement développé. Son cœur était une mine d’or pour ceux qu’il chérissait, son âme un puits d’apaisement pour une mère qui semblait de plus en plus regretter son mariage. L’adolescence ne fût pas seulement l’aboutissement de son être mais tout aussi bien la brusque ouverture de son père à son endroit. Celui-ci, finalement convaincu par la bonté d’âme du jeune mage, le prît sous son aile afin de lui enseigné les arts et les lettres essentielles à la complémentation d’un lanceur de sort. Leurs relation de père à fils devint des plus intimes alors que leurs bonheur s’épanouissait chacun par l’apprentissage de leurs personnalité. Satisfait par le potentiel d’apprentissage que son jeune fils faisait preuve, Meridos décida d’amener avec lui, à la suite d’une profonde démonstration de persuasion à l’endroit de sa femme, son jeune apprenti vers les sommets de glace. Au cours de cette même expédition, l’apprentissage du jeune Teridas n’en fût que des plus instructifs, le père ce félicitant de cette initiative avait dès lors perdu tout mépris à l’endroit de ce que son fils était. Tel était le bonheur de cette famille à nouveau réunis par la passion commune, peut-être aurait-il pût en être éternellement ainsi si seulement la jeune reine d’Argent aurait pût lire les présages dans le ciel…

Invité

… Le regard du jeune demi-elfe croisa celui de son père, son insouciance contagieuse, aurait pût en d’autre circonstance détourné le voile sombre qui sommeillait dans les pensées du sorcier. Le jeune Monarque aux larmes d’argent ne comprenait pas en cet instant le danger auquel son peuple était confronté. Ses douces paroles, épousant le décor poétique qu’était les ruisseaux d’argent auraient sans le moindre doute fait apparaître sur le visage de son géniteur un doux sourire de satisfaction si la noirceur du chaos ne s’était pas abattue si rapidement sur leurs royaumes. L’ignorance du jeune Teridas avait été volontairement instiguée par le Roi et la Reine qui désiraient protéger leur progéniture de la fougueuse jeunesse duquel il était épris. Son cœur débordant de passion, les serviteurs du palais durent redoubler d’ardeur pour caché les désastreuses nouvelles au jeune prince qui ne cessait de questionné ardûment chacun des êtres pénétrant dans la demeure royal. Son père le regardait toujours, son visage étouffé par une colère, émotion elle-même engendré par la peur qui aurait été dans d’autre circonstance dissimulé d’une main de maître. Le Monarque des ruisseaux d’Argent observait son père avec curiosité, cette même intuition que lui avait légué sa mère de pût lui dissimuler bien longtemps la peur que ressentait son père. Cet être habituellement enjoué, fût soudain épris par la perplexité, ses traits se refermèrent et la fatidique question que son père redoutait fût posée. «Mon père, lui dit-il d’une voix prudente, quel est la cause de la colère et de la peur qui vous habites? »

Le tout puissant roi-sorcier ne pût qu’exprimer dans un murmure le nom du terrible fléau qui s’abattait sur son royaume. Le roi dans la grâce d’un répit plongea son regard dans les yeux émeraude de son fils, tentant d’y chercher le réconfort il n’y aperçu cependant que les nombreuses questions qui habitait l’esprit de son héritier. Dans un geste théâtral il fît entré un émissaire des royaumes souterrains dans la salle du trône et remarqua l’intérêt profond que porta son fils dans l’observation de cette étrange créature. Teridas Meridos n’avait jamais eu la chance, d’observer d’aussi près un elfe des profondeurs, son regard croisa celui de la cruelle créature qui en retour lui dévoila son impressionnante dentition. Cette peau d’ébène qui était celle de l’elfe noir, le fît sourire allègrement, il trouvait des plus étranges qu’un elfe puisse arborer une teinte si dénudé d’éclat. D’un regard emplis de curiosité, le jeune sorcier jeta un regard vers la Reine d’Argent et croisa son regard qui n’était plus celui d’une mère mais bien celle d’une redoutable sorcière. Surprît par ce brusque changement de tempérament, Teridas Meridos devina sans peine que le visiteur n’était pas le bienvenue et que ses parents le recevait par simple respect des traditions. L’elfe noir semblait dégager la prétention, son armure d’un rouge vif contrastait les habits bleutés que revêtait le jeune demi-elfe. Consciemment ou inconsciemment, l’elfe noir omît de s’agenouiller devant la puissante famille royal du royaume d’Argent, regardant fermement « la bête » avec indignation, le Monarque des Ruisseaux d’Argent s’avança de quelques pas entre le Roi et la Reine afin d’avoir une vue plus dégager de la créature. Celle-ci se satisfaisant d’une telle attention les saluas finalement d’un pure geste de convenance s’apprêtant plus à la moquerie qu’au respect.

« Suzerain des citées d’Argent, commença la créature d’un ton supérieur, les armées de Mordath ont triomphé du peuple des hommes, les elfes tomberont sous peu et jusqu’à maintenant votre royaume à été épargné car vous ne souteniez pas la rébellion… Peut-être auriez-vous crus que Mordath ne s’apercevrais pas de votre fourberie, peut-être auriez-vous crus que la puissante main du chaos ne détecterait pas les agents que vous avez infiltrés dans nos souterrains… Et malgré votre misérable traîtrise, Mordath le tout puissant vous offre la chance de vous repentirs de vos pêchés, le puissant seigneur ténébreux vous donnes la chance de rendre vos armes et de le soutenir en terme de provision et d’armées. Opposez-vous à notre seigneur et votre peuple seras exterminez, vos têtes lui servirons de trophée. »

Son regard était celui d’un érudit, ses pensés celui d’un hérité et malgré toutes les connaissances que possédait le jeune Monarque, celui-ci était dans l’incapacité de se remémorer la moindre référence à propos du tout puissant seigneur ténébreux qui portait le nom de Mordath. Peut-être avait-il consacré trop de temps aux passées et qu’il en avait oubliée le présent? Était-ce donc pour cette raison qu’il n’avait sus deviner ce qui se tramais dans le royaume qui lui serait un jour destinée? Cette même personnalité extravagante, ce fougueux amour des couleurs resurgirent en lui à l’instant ou la colère le submergeait. N’avait-il jamais été en colère de toute ça vie? N’avait-il jamais été déçu, cette émotion semblait lui brûler l’échine, son corps transpirant de colère, son visage déformé par sa propre incompréhension le sidéra et ne maîtrisant plus adroitement ses émotions, le magicien leva ses mains vers la malicieuse créature et déferla sur elle dans une courte incantation une projectile d’acide qui le frappa droit au visage. Voyant ce qu’il venait d’accomplir, l’apprenti-mage resta figé de terreur alors que l’elfe noir s’était effondrer de douleur épris d’une convulsion dû à l’acide qui lui brûlait les yeux.

La réaction de ce dernier ne tarda guère alors qu’il se releva dans un cri d’effroi, un cris qui ne provenait pas de la diabolique créature mais bien du semi-elfe qui avait aperçu le visage partiellement défiguré de la créature. Il n’eut que le temps de poser la main sur son arme que la damne d’argent s’était levée dans toute sa splendeur. Vell Endra ne pointa qu’une main vers l’elfe noir, celui-ci au même moment ou il dégaina son arme vit celle-ci s’envoler de ses doigts et percuté le sol de plein fouet. Aussi désemparer que désarmé la créature tentât d’avancé et d’un même mouvement fût projeter vers l’arrière par la puissante magie de la dame d’Argent. Avançant sous le regard éblouis de son fils, elle força l’elfe noir à s’agenouiller devant elle. Bien qu’il eut voulu lui résister, il n’en pouvait rien, la magie auquel il était confronté était beaucoup trop puissante pour le simple guerrier qu’il était. Son visage afficha néanmoins une grimace qui naguère aurait fait sourire le jeune demi-elfe. Leurs regard se croisèrent à nouveau, cette-fois ce fût pourtant le jeune Monarque qui affichait un regard de supériorité. Le Roi lui s’était contenté de resté assis sur le trône, observant la scène avec une certaine délectation il jeta un regard tendre à son fils lui indiquant de reculer.

« Aussi puissant fussent votre seigneur, s’exclama la Reine d’Argent d’une voix puissante, aussi infâmes fusent vos actes en ce bas monde… Les Ruisseaux d’Argent s’opposeront à vous jusqu’à son ultime souffle. La Damme D’Argent ne ce soumettra jamais au disciple de l’infamie aussi immortel fût-il. Sachez, elfe de l’ombre que vôtre peuple sera damné par vos actions, vous avez choisi de vous joindre à des forces que vous en pouvez comprendre et peut importera votre victoire ou votre défaite vous en serez éternellement les esclaves. Si votre peuple est prêt à sacrifié sa liberté pour la soif de pouvoir alors plait-il, immortel des profondeurs, nous vous combattrons avec toute la puissance que disposent les Ruisseaux D’Argent! Engeance du démon, retourne à ton maître et implore tes dieux afin qu’il te protège du courroux de la Reine des Ruisseaux d’Argent! »

Le jeune magicien ne pût qu’observer avec l’admiration qu’il ressentait sa mère scintiller d’un éclat de Crystal, la beauté de celle-ci l’époustoufla alors qu’elle s’avançait toujours devant l’elfe à la peau d’ébène. Pris de panique, l’immortelle des profondeurs fût libérer de son immobilité magique et se sauva sans quémander son reste. Les yeux de la Reine mère se ferma alors qu’elle se retournait devant son fils, celui-ci qui avait été apeuré quelques minutes plutôt par ses propres pouvoir magique, ressentit désormais une tranquillité d’esprit des plus sereins, les pouvoir de sa mère dépassait largement ce que lui-même pouvait concevoir, en ce même instant, alors que les armées de Mordath avançait vers les Ruisseaux d’Argent et que le jeune Monarque aurait dû être pris de cours par la peur, le pouvoir de la Dame d’Argent apaisa l’esprit de son fils. Peut-être eut-il possédé une personnalité bien différente si les pouvoirs de sa mère eut été beaucoup moins puissant, peut-être, privé de son influence serait-il aussi pessimiste que l’était son père. Il en fût pourtant trop tard pour que le jeune semi-elfe ne puisse à jamais altérer sa propre conscience, la Reine des Ruisseaux d’Argent c’était assurée qu’il n’en puisse rien. Ainsi fût-il épris d’un calme sans borne, d’une joie de vivre lui parcourant l’échine aussi puissant était se bonheur artificiel, le jeune Teridas ne pouvait aucunement sans détourner. Son cœur était pure et pourtant il avait blessé cet elfe noir sans même s’en rendre compte, était-il un monstre? Pourquoi n’éprouvait-il pas le moindre dégoût, dans son inconscience il savait que sa mère était celle qui lui dictait ses émotions mais il ne pouvait l’admettre consciemment, son esprit était dérouté par les évènements déferlant vers lui. Ce tourbillon d’émotion artificiel engendra en lui une tristesse infiniment perceptible et aux vues de tous s’écoula de ses yeux une mince goute d’argent, de ses yeux, une larme à l’éclat de Crystal déferla sur sa joue. Dès lors les serviteurs le nommèrent, le Monarque aux larmes d’Argent…

Quelques mois passèrent tout au plus après cet incident, son entraînement était devenu plus intense afin qu’il puisse contrôler avec plus d’habilité son pouvoir. Les armées de Mordath avançait de jour en jour sur leurs vaste domaine, les semi-elfe des forêts durent déroger à leur confort afin de se replié dans la citée d’Argent, leurs royaume était totalement encerclé par le sombre voile du chaos, ceux-ci connaissait la vengeance du puissant seigneur ténébreux pour avoir osé s’élever ouvertement contre lui. Pourtant le morale du jeune Monarque n’en était aucunement affecté, ses traits resplendissait de joie alors que les mauvaises nouvelles fusait de toute part, il fût pour les habitant de la citée, l’éclat de Crystal perçant le voile ténébreux qui s’habitait sur eux. Sa joie de vivre contagieuse ne pouvait être affecté par les avancés des armés du chaos. La marée verte était une chose, disait-il avec joie à son peuple, mais le pouvoir de l’harmonie surpasserais le chaos et jusqu’au dernier instant ils devaient avoir fois dans le pouvoir bienveillant de la Dame D’Argent. Lorsque le doute survînt dans son esprit, sa mère n’était jamais loin afin de lui redonner la touche de joie débordante qui comblait son existence.

(À suivre… Je veux que la partie qui suivra soit bien écrite, besoin d’inspiration!)