[MJ] Mission officiel

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Eracan se demandait comment qui que ce soit même un orc pouvait être dans ses marais. Chaque particule de l’endroit puait comme une montagne de carcasses mit ensemble. Habituellement en territoire hostile il s’aurait assurer de ne pas respirer trop fort, mais là son corps l’amenait presque l’asphyxie, il restait le plus bas du sol sans toutefois rampé. Il était étendu un peu comme un lézard qui marchait à quatre pattes, il empêchait ses vêtements de toucher le sol pour éviter de faire trop de bruit et ses mouvements était plus lent. Il faisait s’assurait de scanner un endroit dans sa totalité. Il sentait ses mains devenir sale rapidement à cause de la boue sur le sol, la boue était presque aussi pire la peur. IL avait fait attention d’attacher quelque branches d’arbres à son costumes, il passait dans des zones très denses afin de rester caché Il s’arrêtait au moindre bruit qu’il n’avait pas identité précédemment. Sa nervosité naturelle lui faisait entendre le bruit de son cœurs dans ses oreilles en plus de tous les sons possible de la nature. Un véritable enfer vert, il se demandait combien de temps il devrait attendre avant d’arriver à trouver ses peaux vertes. Quoi que logiquement il pouvait très bien passer le marais d’une extrémité à l’autre sans tomber sur Orc, mais bon au bruit qu’il pouvait faire, il avait des bonnes chances de réussir.

Il remarqua un arbre avec une écorce quand même assez large, il se disait qu’il avait bien mérité une pause. Il bougea aussi lentement que d’habitude vers cet arbre ce qui rendu son repos beaucoup plus plaisant. Il avait le dos contre l’Écorce il s’assura que les branches de son camouflage ne firent pas de bruit quand il se posa. Il sortit sa lame très lentement de son fourreaux pour encore éviter un bruit fatidique. Il nettoya pas ses mains, mais ne les regardait pas, il gardait ses yeux sur ses alentours pour tout ce qui pourrait être d’intérêt. Des traces de pas, des mouvement suspects des sons inconnues. Il s’assurait de détruire ses traces en mettant ses pieds dans ses traces que ses mains avait mit et ensuite bougeait son pieds pour aplatir la boue, au moins sa dissimulait que ses traces était fait par un humain ou sinon les effaçait complètement, il ne pouvait être totalement certains de l’efficacité de sa technique.

Il remarqua que l’arbre pouvait l’aider à trouver ce qu’il recherchait. Il se mit à l’escalader doucement, de branche en branche toujours scrupuleux d’être discret. Il devait arriver au sommet de l’arbre. Un rassemblement de peau verte était à peu près certains d’être visible du haut d'un arbre aussi grand.

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On ne savait si cette odeur pestilentielle provenait vraiment de ce marais qui faisait office, depuis quelques décennies, de cimetière ou bien si ces deux orcs qui n’avaient pour charme constitutionnel qu'un parfum digne d’un champ de bataille couvert de cadavre, sueur et crasse se mêlaient sur leurs peaux verdâtres et rugueuses. Deux orcs venus des contrées bien lointaines, échappant sûrement aux civilisations qui les rendraient à néant en les voyant. Deux éclaireurs de la main de l’ombre alors ?

L’un habile à l’épée, mais aussi faible qu’un nouveau né, difficilement supportable, qui savait mieux se servir d’une cuillère en bois que de sa lame tachée de sang, rouillée à souhait. L’autre, un clerc, se croyait tellement agile de ses mains qu’en soignant la plaie d’un de ses acolytes il avait ouvert la plaie bien plus profondément. Marginalisés et abandonnés, peut-être espéraient-ils se faire remonter dans l’estime de leurs armées en surveillant discrètement les marais. Les marais où aucun souffle vivant n’était susceptible de s’y trouvait, oui en effet ces deux démons ne voulaient pas trop se mouiller. Un égo aussi fort que leur carapace mais un courage n’égalant aucunement même la valeur d’une pièce de bronze.

Discrétion avait-on signalé ?
Risible…Ironique.
Alors qu’ils formulaient la plus belle horde de grognements, tapant de leurs forces leurs bottes ferrées sur le sol boueux et hurlant à tue-tête sur une conversation qui débattait sur qui était le plus grand de tous.

- …Arfas, tu es bien trop érudit. Si Mordath avait réfléchis maintes fois avant de s’attaquer à Barius, on n’en serait pas là, à soulever le moindre corps disséqué dans ces marécages nauséabond ! Pauvre bougre ! grogna le clerc.

- Je ferais bien de t’envoyer dans les profondeurs vaseuses, avec ces morts, pour avoir osé parler ainsi du Seigneur du Chaos ! Hurla le guerrier, dans un raclement de gorge tonitruant.

Oui, dans le genre éclaireurs silencieux, les armées de l’ombre avaient quand même fait mieux. Seulement, alors que la boue grinçait mélancoliquement sous leurs pas, le dénommé Arfas arrêta son coéquipier en lui barrant la route de son énorme bras. Le moine n’avança en rien et regarda en plissant d’un air mauvais le regard, déformant toujours plus son visage déjà bien horripilant. Le soldat dégaina alors son épée la présentant au devant. Ce qui semblait être un sourire vint alors défigurer sa mâchoire en un rictus encore plus horrifiant.

- Mais que… s’emporta le clerc avant d’être de nouveau coupé par Arfas.

- La ferme Ornak ! Ne sens-tu pas cette délicieuse chair fraîche qui vient chatouiller tes sens…Mmmh, oui délicieuse odeur d’un humain !

S’il n’avait pas ce physique transfiguré, on aurait pu croire qu’Arfas était au summum de sa joie. Il laissa ses petits yeux scruter les environs, alors que le « couple » rejoignait ce fameux arbre où résidait le sang chaud d’un vagabond. Pour les orcs, la présence était forte mais il ne pouvait voir l’intrus dans ce brouillard détestable.

- Tu n’aurais pas du traîner là petit…Ricana Ornak, en cherchant à l’aveuglette un signe de présence humaine.

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Eracan put tout de suite reconnaître le son en dessous de lui c’était celui de deux Orc entrain de se disputer. IL se faisait un devoir d’étudier la conversation aussi rapidement que possiblement pour pouvoir déterminer la marche à suivre. Il se dit dans son fort intérieur qu’il se pouvait qu’il puisse mieux entretenir la conversation avec un Clerc et qu’il parlerait beaucoup plus rapidement qu’un guerrier plus costaud. Il devait agir rapidement par ses deux stupides créatures, il connaissait sa présence, uniquement à cause de son odeur, il devait remédier à se problème après avoir finit avec ses deux pourritures, c’était le temps pour l’action maintenant.

Il l’assura d’être bien aligné avec l’Orc qu’il avait choisi et sauta, il se retena de crier afin de faire la plus grande surprise, sa vitesse de chute était très grande il avait de la misère à rester bien concentrer sur sa cible, mais bon ses pieds s’écrasèrent sur les épaules du minable de petit guerrier, ce qui le plaqua au sol avec Eracan sur son torse, comme il avait précédemment sortit sa lame. Il n’eut aucun problème à le tuer rapidement en rentrant sa dague dans sa gorge en ouvrant une plaie béante et mortel pour assuré la mort la plus rapide possible.

Il donna un coup de pieds très fort au Clerc pour le plaqué sur l’arbre tout en s'assurant de le désarmer, il déposa son arme sur sa gorge très près de la veine pour signaler très clairement qu’il tenait sa vie entre ses main. Il fit un peu de pression pour davantage menacer. Le bras D’Eracan retenait fermement le clerc contre l’arbre. Il le regarda droit dans les yeux et se demanda un peu comment le faire parler.

- Écoute mon petit, tu vas me dire d’où tu viens et ou se cache les autres de ta race?

Il fit augmenter la pression sur la veine de l’Orc sans toutefois pénétrer la peau, il était étonnment très concentrer sur ce qu’il faisait, il s’assurait que l’Orc puisse sentir la douleur de la lame qui était sur le point de transpercer la peau, s’il hurlait soudainement, la lame lui transperçait automatiquement sa mâchoire et le tuerait instannément. Il savait qu’il devait agir rapidement, mais bon avec leur vacarme, il se doutait que si l’Orc ne voulait pas parler il aurait qu’à suivre les traces.